suite de l'histoire du soldat

En me reveillant dans mon petit abri de fortune que j'avais trouvé sur ma route, toute ma dertermination de la veille me revint en mémoire, je me leva et alla boire un peu d'eau qu'l me rester dans ma gourde et manger un peu de fruits que j'avais eu la chance de trouver et qui n'était pas totalement putréfiés.

Je rangeais hâtivement la lampe de poche, une photo de ma femme et mes enfants,, quelques affaires diverses , mit mon sac sur mon dos et me réarma ,.

Au moment où j'allais quitter la pièce, j'entendis un premier coup de feu venir au loin, puis plusieurs qui se rapprochaient de plus en plus, se devait être les membres de mon armée qui continuait le chemin avec l'espoir de remporter la victoire et de faire l'honneur de la France, oui, ils y croyaient encore...

Le stress et la peur commencés à monter en mois, plus les coups de feu et les pas se rapprochaient de ma cachette, je décidais de fuir et de courir de toute mes forces , droit devant moi, mais avant de le faire, je réalisais que si j'avançais tout droit j'allais à ma perte car c'était par là qu'était cacher nos ennemis, il me sembla de la meilleure solution été d'attendre que l'armée que j'avais cotoyée pendant ces longs moments passe leur chemin et que je puisse repartir vers ma famille, courir le plus rapidement, ne plus être a vu de personne et rentrer chez moi par n'importe quel moyen!

Je sais que nous etions arrivés en hélicoptére, et nous avions été posés assez brutalement d'ailleurs j'en ai encore ma jambe qui me lance et mon dois qui fait des siennes, donc je ne sais pas comment je vais pouvoir revenir dans ma ville..

A moins que ..., oui, c'était possible mais il fallait que je change d'allure, les pilotes des helicoptéres, etaient postés là où  ils nous avaient deposés et surveilleur partout autour d'eux, de peur 'être attaquer, mais ils devaient attendre les soldats et les rapatries une fois que tout ceci serait finis, enfin les hommes pensaient que la guerre été aussi simple et que la france gagnerais largement mais malheureusement nous étions trop naifs et il y avait deja eu beaucoup de morts dans notre armée.

Quelques heures plus tars, mes camarades étaient passé, et je décida de prendre la route, dans un premier temps je fus hésitant et aux aguets pour le moindre bruit et ensuite j'anvançais de plus en plus vite à travers les feuillages, les sables, le vent, la boue, le froid qui me glaçait les os, j'avais mis une chemise noire pour etre neutre et que personne ne puisse se douter que j'étais un guerrier français ou pas,si quelqu'un me trouvait  , j'inventerais quelque chose en disant que je suis un pauvre gars paumé ou que je conduisais un héllicoptére qui fut tombé en panne et que je cherchais un secours pour pouvoir prévenir ma famille et que 'lon m'envoie de l'aide. Les deux solutions étaient plausibles.

Le temps passé et il me semblait long, je marchais et tout été trop calme autour de moi, dans cette grande foret..

Je ne sais pas pourquoi je devenais de plus en plus inquiet, mes jambes tremblait et je ruisselais de sueur alors qu'il faisait bien froid..

J'entendis des pas derrière moi et je m'évanouis..